banniere
Recherche avancée

Résultat recherche élargie à: jazz

Liste des documents recherchés

Résumé
Yaron Herman se réinvente avec Alma, un album de piano solo centré sur des sessions d'improvisations, dans un désir revenir à l'essence même de la liberté, du jeu, de l'exploration et de l'imagination. "Dans cet album j'ai voulu aller à l'essentiel. En dehors de tout concept pré défini, de plan, d'idée de thèmes particuliers. Juste, de me mettre au piano, fermer les yeux et me laisser guider par la musique. Partir en voyage intérieur." Alma ouvre une toute nouvelle porte pour le pianiste Yaron Herman. Après dix albums, le voici qui se jette dans le vide et, pour la première fois, nous offre un corpus entièrement improvisé, à la fois sidérante photo de l'instant et foisonnant miroir de son passé. Son apprentissage, sous l'égide d'Opher Brayer, l'encourage dans une vision holistique où l'étude de la musique est la partie d'un tout qui intègre la philosophie, la psychologie et les mathématiques. Le piano est ainsi au centre d'une réflexion plus globale, un compagnon de voyage pour tenter de décrypter les mystères du Monde. L'on oublie parfois qu'à l'aube des musiques, jusqu'à la fin du 16ème siècle, l' improvisation « totale » était au coeur de la pratique. Plus tard, de Bach à Chopin, de Beethoven à Messiaen, tous ont troussé des mélodies et inventé des harmonies dans l'instant, qui parfois devinrent la matrice de leurs chefs-d'oeuvre. C'est le chemin que suit Yaron Herman lorsqu'il franchit la porte du studio pour y graver Alma. Sans aucun scenario préconçu, il va aller au bout d'une forme de lâcher-prise, être tout entier à l'écoute de ce que la musique a à lui dire, ouvrir des portes vers des espaces qui lui sont encore inconnus. Improviser c'est composer en temps réel.
Résumé
La carrière du Sacre du Tympan a débuté il y a plus de deux décennies, mais cet album brandit sa différence avec un exercice périlleux : écrire chaque titre comme un tube en puissance. 25 musiciens font sonner des cuivres, des cordes et du clavecin... "X" (le dixième) est porté par des souvenirs très personnels, comme Goodbye Lougarock, silencieusement dédié au père de Fred Pallem, Bitches en Marbella, qui évoque à sa manière la libération des confinements successifs ou encore "L'Amour du Disque" où le compositeur raconte sa joie d'écrire pour le Sacre . " X" rappelle surtout la mission très actuelle du Sacre du Tympan : replacer la grande musique orchestrale sur la carte, comme un drôle d'endroit impossible où les envolées wagnériennes croiseraient le groove des basses de David Axelrod et la folie de Jean-Claude Vannier.
Résumé
14 pianistes, deux pléiades en somme... deux constellations de 7 étoiles, 14 albums en piano solo, enregistrés sur mon piano dans mon appartement. Depuis 10 ans, des concerts privés se sont improvisés rue Paradis, des moments de grâce partagés, des moments de musique exceptionnels et délicieux. Un public d'amis s'est formé, s'enrichissant régulièrement de nouvelles personnes. Un lieu qui sonne si bien, un piano Steinway à la personnalité si généreuse et si sensible, tout était réuni pour faire naître l'envie d'écrire l'histoire de ce lieu devenu Paradis pour toute une fratrie, ma fratrie, de pianistes parmi les plus remarquables. Chacun a dévoilé intimité, singularité, force et fragilité d'un instant, propres à l'enregistrement d'un piano solo. Chacun a écrit son chapitre, a laissé libre court à son imagination pour raconter son histoire. Le Paradis a improvisé pour enregistrer les 14 chapitres de cette histoire ( la fratrie est plus grande...) et créer son label : Paradis Improvisé.
Résumé
Se mesurer à l'oeuvre de Morricone relève du sacré, d'autant plus quand les Artistes principaux qui signent cet hommage, Ferruccio Spinetti et Giovanni Ceccarelli sont tous deux italiens. "Ennio Morricone nous fascine par sa capacité à composer des mélodies, lesquelles, une fois écoutées, restent dans l'imaginaire et en mémoire pour toujours. Un très grand mélodiste... Peut-être le plus grand compositeur Italien après Puccini." (Giovanni Ceccarelli) Face à l'immensité de l'oeuvre de Morricone, la première étape préparatoire de ce projet consista dans l'établissement du choix du répertoire des oeuvres, un choix qui puisse évoquer son considérable spectre musical tout en ne se limitant pas qu'à des interprétations d'oeuvres connues. La sélection des oeuvres qui figurent sur l'album 'More Morricone' est donc le fruit d'un travail commun des Artistes, de la production mais également de Massimo Cardinaletti, très grand expert de musiques de films et ami proche d'Ennio Morricone. "More Morricone" est un album précieux et délicat dans lesquelles les oeuvres de Morricone sont sublimées par deux artistes dont l'amitié et les collaborations musicales qui les lient depuis plus de 20 ans en ont permis la réalisation.
Résumé
'Who dared it' (celui qui a osé) qui ouvre cet album tient son titre du nom de la ville natale du père d'Hermon Mehari, Mendefera. C'est aussi un hommage au courage de ce père qui a osé quitter son pays, l'Erhytrée, en 1979, en pleine guerre contre l'Ethiopie. Arrivé en Italie après un dangereux périple, il rencontre sa future femme dans un camp de réfugiés du 'pays de la Mer Rouge' et émigre avec elle aux Etats-Unis où Hermon naît il y a trente-cinq ans. Le trompettiste, formé au jazz dans l'un de ses berceaux, Kansas City, aura attendu la pandémie de Covid 19 pour explorer musicalement sa culture ancestrale. Tous les morceaux d'Asmara ramènent à l'Erythrée qu'Hermon n'a visité qu'une fois à l'âge de cinq ans.
Résumé
Le trio minimaliste et break-beat GoGo Penguin est de retour avec son tout nouvel album "Everything Is Going to Be OK". Avec un nouveau batteur, un nouveau label (XXIM Records, le label électronique et classique de Sony Records) et un son subtilement évolutif et léché, le groupe inaugure une ère plus ambient. "Everything Is Going to Be OK" est né d'une période de turbulence et de perte. Pendant une période de deuil oppressante, le studio a offert au groupe un sanctuaire pour se protéger de la vie réelle. Le projet qui en résulte tire sa force d'une compréhension et d'une empathie partagées. La vie a de nombreux aspects positifs et, malgré les périodes de difficulté, nous devrions être plus attentifs à la célébration des moments forts, sans retenue. À travers nos épreuves, nous sortirons plus forts - tout va bien se passer.
Résumé
À l'occasion du 50ème anniversaire de son premier album 'Two Headed Freap', sorti en 1972 sur Blue Note, l'organiste Ronnie Foster nous présente un nouvel album dynamique, intitulé Reboot. Les neuf chansons de'Reboot'marquent un nouveau départ pour Fosterqui a concocté une infusion omnidirectionnelle de Hammond Organ Groove. Celui-ci rend hommage au passé, mais reflète le plus souvent l'inquiétude de Ronnie à l'idée d'inaugurer le nouveau. Hissant haut et fort le flambeau de l'orgue Blue Note, l'artiste rend grâce à l'osmose musicale qui lui a été transmise par tous les grands qui l'ont précédé.
Résumé
Si Pierrick et Gonzalo ne s'étaient jamais parlés avant de poser leurs mains sur leurs instruments dans un studio New-Yorkais, on sent tout de suite à l'écoute du disque à quel point l'entente fut immédiate et la symbiose profonde. Et qu'en voyageant ensemble dans la musique, une amitié sincère est née. Intitulé sobrement Pédron Rubalcaba, l'album raconte l'essentiel : l'histoire d'une rencontre au sommet. Comme point de départ, une fine sélection par Pierrick Pédron et Daniel Yvinec de 'grands standards exigeants traversant le XXème siècle' (du Si tu vois ma mère de Sidney Bechet au précieux Lawns de Carla Bley), arrangés par Laurent Courthaliac. Inspiré par son érudition du bop ainsi que l'école de Nadia Boulanger et avec un profond respect pour le jeu de Gonzalo Rubalcaba, Laurent s'est attelé à 'écrire les plus beaux accords pour les plus belles mains'. Le disque, composé de grands instants de bravoure où les traits survolent avec une maestria évidente les partitions écrites, se permet de grandes cassures, touchant aux musiques romantiques, contemporaines, parfois même bruitistes. Dans cet art du duo, Pierrick et Gonzalo s'interpellent, se provoquent, se jaugent, s'amusent à se surprendre et cherchent à se surpasser l'un l'autre. Deux musiciens qui osent tout et pour qui tout semble se faire si aisément, s'aventurent ensemble dans la musique qui se trouve derrière les notes. On se laisse emporter par la maîtrise des résonances du piano, des souffles enrobant les notes, par les bruits de clés du saxophone, les chants impromptus de Gonzalo... Une 'méta-musique' qui, mariée à cette permanente et enivrante virtuosité, en magnifie toute la poésie.