banniere
Recherche avancée

Résultat recherche élargie à: biographies

Liste des documents recherchés

Résumé
Présentation de l'éditeur sur la quatrième de couverture : "Parfois, nous côtoyons des personnes sans connaitre les véritables fondements de leur vie. Nous avons d'eux une perception forcément limitée. Que savons nous du fardeau qu'ils portent ? Que connaissons nous de leur bonheur ? Qui sont-ils ? Qui est Akli ? Ce roman retrace la vie d'une famille sur plusieurs générations. Nous voyageons en Kabylie avec Fatima, à Alger avec Djamila puis en Occitanie avec Laetitia. Nous pourrions tous être Akli demain ou un autre jour."

[Jocelyne Armusieaux], 2019

Résumé
"Elle était une femme de tête et de coeur, vertigineuse." Lawrence d'Arabie. Il faudrait dire "Bell de Bagdad" comme on dit "Lawrence d'Arabie". L'aventure de Gertrude Bell auprès des chefs bédouins de Mésopotamie est le reflet au féminin de celle du colonel Lawrence en Arabie. Fille d'un grand industriel du Yorkshire, titulaire d'un premier prix à Oxford, celle qu'on surnommait la "khatun", la "dame" ou "la reine du désert", accomplit entre 1900 et 1914 six expéditions archéologiques et diplomatiques entre le Levant et l'Euphrate. Agent secret et ambassadrice occulte au service de Sa Gracieuse Majesté durant la Grande Guerre, elle est la seule femme à participer au titre de conseiller aux conférences internationales de 1919 et 1921. Autre point commun avec T.E. Lawrence, elle allie un courage physique extrême à une grande fragilité sentimentale et comme lui, elle connaît une fin tragique : douloureusement frappée par la mort de son amant au front en 1915, elle ne s'en remettra jamais, et sa disparition à Bagdad, en 1926, au sommet de sa carrière, laisse planer des doutes. Inspiré par sa correspondance magnifique (dont les lettres échangées avec son amant), en grande partie conservée et jamais traduite en français, le livre dresse un portrait émouvant d'une grande dame de l'aventure.

Tallandier, 2015

Résumé
Rudolf Noureev, le plus célèbre danseur de tous les temps, se livre entièrement dans ce témoignage inédit en France. Ce texte paraît en 1962, date à laquelle le fougueux danseur devient une star internationale. Etoile du ballet soviétique du Kirov, il choisit le 16 juin 1961, lors de sa première tournée en France, de passer à l'Ouest avec fracas, en faussant compagnie aux gardes du KGB à l'aéroport du Bourget. Star du jour au lendemain pour cet acte considéré à tort comme politique, Noureev, génie de la danse, allait conquérir les plus grandes scènes et révolutionner l'art du ballet. Dans ce texte, Noureev n'a pas seulement de flamboyants débuts à raconter, mais un destin à faire découvrir. Le destin d'un petit garçon soviétique né dans une grande pauvreté, et en passe de devenir une superstar occidentale façonnée par la toute-puissance médiatique des années 1960 et le contexte oppressant de la guerre froide. Toute la personnalité de Noureev y figure déjà, dans cette enfance nomade, dans ce caractère entier et volontaire, source de mélancolie mais atout essentiel pour oser transgresser l'autorité familiale, politique et artistique de son temps.

Arthaud, 2016

Résumé
« J'ai pleuré en apprenant la mort de mon papa de cinéma. Pour moi, il était devenu un papa tout court. Roger Hanin était à la fois mon père, mon mentor, mon ami, mon confident et mon pilier. Il m'a aidée à grandir et à devenir la femme que je suis aujourd'hui.  Je venais juste d'avoir dix ans lorsque j'ai rencontré Roger Hanin pour la première fois. Je faisais partie des trois finalistes préposées à jouer sa fille dans « Navarro » et il était venu lui-même donner son avis sur la distribution. « Lorsque j'ai obtenu mon permis de conduire, c'est lui qui m'a offert ma première voiture. En grandissant, j'ai appris à connaître ses bandes d'amis : celles de ses amis d'enfance de la Casbah d'Alger, celle des politiques, celle des gens du métier' Chaque été, il avait l'habitude de réunir ses différentes bandes autour de grands tablées. « Roger était la générosité même. Il répétait sans cesse : "On arrive au monde nu et l'on repart nu. Rien ne sert d'accumuler. L'argent est là pour être partagé. Il fallait toujours qu'il aide ceux qui étaient dans le besoin. »

l'Archipel, 2016